Ce jeudi 26 avril 2018, a l'occasion de la Journée Mondiale de la Propriété intellectuelle l'association scientifique ' Le Cabinet' a organisé une con
Ce jeudi 26 avril 2018, a l’occasion de la Journée Mondiale de la Propriété intellectuelle l’association scientifique ‘ Le Cabinet’ a organisé une conférence débat sous le thème » Actualisation du droit congolais de la propriété intellectuelle ».
Cette conférence avait comme intervenants Me Coco Kavudi Misamu; le professeur Jean Michel Kumbu Kingimbi, l’artiste musicien Jean Goubald Kalala et le professeur Bruno ilunga Musanga. La manifestation s’est déroulée au Collège Boboto à Kinshasa Gombe.
La conférence du jours a eu pour l objectif de faire la promotion de droit des œuvres des auteurs nationaux ou étrangers en RDC. Les organisateurs ont voulu protéger les œuvres littéraires ainsi que artistiques pour éviter la piraterie.
Plusieurs conférenciers ont intervenu sur le thème de la journée de la propriété intellectuelle.
Me Coco Kavudi Misamu a résume en quelques phrases les richesses du l’Etat. Il s’est particulièrement basé sur la richesse des innovations. La recherche scientifique, a-t-il affirmé, est une capacité des œuvres produits par les efforts personnels.
Dr Jean Paul Koso a souligné l’importance de la protection de droit d’auteur comme propriété intellectuelle. Il a exigé la mise en application du droit de propriété intellectuelle et demandé aussi d’améliorer la loi..
L’Artiste musicien Jean Goubald Kalala a tiré le contenu de son intervention dans un livre en disant que les droits d’auteur en Occident sont respectés parce que il y a des mesures de répression préventives tandis qu’ en Afrique seuls quelques pays africains ont promulgué de mesures préventives grâce aux associations et aux entreprises d’édition de musique pour lutter contre le piraterie.
Le professeur Bruno Ilunga Musanga a plutôt rappelé que la création est de mettre en œuvres tout ce qui est neuf, créer une originalité. La création consiste également à transformer par l’imagination un produit brut en un autre.
Gladys Bundu et Laurianne Lolo Mpotambwa, stagiaires
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