Les acteurs de la société civile ont publié une approche consensuelle pour la fin de la crise institutionnelle en RDC

La société civile a rendu public son approche consensuelle pour la fin de la crise institutionnelle en RDC le vendredi 14 juin lors d'un point de pre

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Une attitude du père Alain Nzadi

Une attitude du père Alain Nzadi,un des acteurs de la société civile

La société civile a rendu public son approche consensuelle pour la fin de la crise institutionnelle en RDC le vendredi 14 juin lors d’un point de presse tenu au Centre d’Etudes Pour l’Action Sociale(CEPAS) à Kinshasa.

Cette approche résulte de l’atelier de réflexion organisé au CEPAS du 14 au 16 mai 2018. Cet atelier avait réuni certains acteurs de la société civile et une cinquantaine des chercheurs venus de l’Est du pays, notamment de Goma et de Lubumbashi, qui ont réfléchi sur la crise institutionnelle qui perdure quasiment depuis sept ans.

Après avoir analysé les causes, évalué les possibles conséquences et envisagé les solutions de sortie les plus viables pour le pays, ils ont donc convenu de l’approche consensuelle qui préconise que le peuple congolais se réapproprie son destin en pesant de tout son poids sur le processus électoral en cours pour qu’il se déroule de la manière la plus transparente et crédible possible et qu’il aboutisse au choix des personnalités qui pourront véritablement prendre en compte ses profondes aspirations.

La société civile  doit se mobiliser  pour la tenue des élections le 23 décembre 2018, c’est le combat même de la société civile, a souligné le Père Alain Nzadi, directeur du CEPAS et acteur de la société civile. Il a également précisé que la société civile a placé des alertes dans le processus électoral, pour suivre de près les actions à mener et donc si on se rend compte que jusqu’au 23 décembre il n’y a pas élection ou que le processus a été biaisé, la suggestion est que la transition qui serait mise en place devrait être conduite par les acteurs de la société civile.

Ruth Lutu Bifutu/stagiaire 

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