Dans le cadre de renforcement de capacité du corps enseignant sur le changement climatique, plus de 300 enseignants des écoles Don-Bosco de Kinshasa p
Dans le cadre de renforcement de capacité du corps enseignant sur le changement climatique, plus de 300 enseignants des écoles Don-Bosco de Kinshasa participent à la formation sur le thème: « Pour quel enseignement environnemental ? ». Cette formation de deux jours soit du vendredi 12 au samedi 13 avril 2019 se tient à l’Institut Technique de la Gombe, dans la commune qui porte le même nom . Elle est initiée par le père Joachim Tshibangu, préfet de l’école.
Louis Marie Atundu orateur principal du jour a parlé au corps d’enseignants des écoles Don Bosco. Au cours de cette formation tenue le vendredi 12 avril 2019 l’orateur Atundu a mis l’accent sur les enjeux actuels d’environnement, l’éducation de l’environnement pour une jeunesse responsable, qui devient une nécessité, et ainsi que sur les conséquences de réchauffement climatique. Selon l’orateur, le réchauffement climatique est un phénomène naturel, un phénomène qui est dû à la présence des certains gaz dans l’atmosphère qui produit le gaz à effet de serre.
Dans son exposé M . Atundu a ciblé trois grands points sur les conséquences de changement climatique lors de la formation du climat. Sur le plan géophysique, plus simplement des précipitations atmosphériques il y’a plus l’augmentation de la chaleur, des cyclones , des tempêtes , d’augmentation de la pluviométrie , des inondations , des glissement des terrains , de sècheresse. Au deuxième point, il a évoqué les dégradations sur le plan économie. Il a insisté sur l’aggravation de la pauvreté, à cause de ces dégradations géophysiques. En même temps les Etats pauvres sont touchés 47 fois plus que les Etats industrialisés. Enfin politiquement il déplore des conflits d’intérêt entre les Etats du nord et ceux du sud, une nouvelle configuration géopolitique du monde qui voit le jour.
Monsieur Atundu a conclu par dire que la République Démocratique du Congo est un grand pays en matière environnementale étant donné qu’elle a la plus grande forêt, le plus grand potentiel en ressources naturelles. Il a demandé aux enseignants de former les élèves à la persévération de la nature.
Dada Babala
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