Après le Brésilien Jair Bolsonaro, Donald Trump a pris à son tour la parole mardi face à l´Assemblée générale de l'ONU. "L'avenir n'appartient pas aux
Après le Brésilien Jair Bolsonaro, Donald Trump a pris à son tour la parole mardi face à l´Assemblée générale de l’ONU. « L’avenir n’appartient pas aux mondialistes. L’avenir appartient aux patriotes » a souligné le président américain en ajoutant que « Jamais je ne cesserai de défendre les intérêts des Etats-Unis.
• Donald Trump s’est livré à une vigoureuse défense de son « America First », en fustigeant « les mondialistes » et en faisant l’éloge des « patriotes » à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies.
« L’avenir n’appartient pas aux mondialistes. L’avenir appartient aux patriotes. L’avenir appartient aux nations souveraines et indépendantes, qui protègent leurs citoyens et respectent leurs voisins », a déclaré, d’un ton grave, le président des États-Unis pour sa troisième participation à la grand-messe annuelle de la diplomatie mondiale.
Donald Trump s’est ensuite livré à une vigoureuse offensive contre les pratiques commerciales « iniques » de la Chine qui ont justifié sa politique protectionniste vis-à-vis de Pékin.
« Nous travaillerons étroitement avec le Premier ministre Boris Johnson sur un magnifique accord commercial » a-t-il par ailleurs déclaré.
Donald Trump a également dénoncé le « régime oppressif iranien qui sème mort et destruction, en tant que premier parrain du terrorisme mondial ».
• Plus tôt, pour l’ouverture du débat de l’Assemblée générale, Jair Bolsonaro a notamment affirmé qu’il était « faux » de dire que l’Amazonie faisait partie du patrimoine de l’humanité. « Au lieu de nous aider », certains pays, sur la base de « mensonges des médias », « se comportent de façon irrespectueuse et coloniale, attaquant notre souveraineté », a accusé le président brésilien depuis la tribune de l’ONU, sans citer de pays en particulier.
une attention a été attirée par le discours de français Emmanuel Macron lorsqu’il a appelé ce mardi les jeunes à « faire pression » sur les pays les plus réfractaires à la lutte contre le changement climatique plutôt que « prendre des positions très radicales », après le dépôt d’une plainte de Greta Thunberg aux Nations Unies contre plusieurs Etats, dont la France.
Emmanuel Macron a estimé que la plainte de Greta Thunberg contre la France n’était pas « la voie la plus efficace » pour lutter contre le changement climatique et que des « positions très radicales » sont « de nature à antagoniser nos sociétés ». « Je ne suis pas sûr que ce soit la voie la plus efficace », a réagi le président français sur Europe 1.
La réaction de Macron était basée sur le discours de Greta Thunberg à l’ONU lundi 23 septembre, lors duquel elle a exhorté les dirigeants politiques d’agir contre le réchauffement climatique, qui continue de faire réagir. Après Emmanuel Macron, c’est maintenant Donald Trump qui critique les propos de la jeune militante.
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