"Une marche de vulgarisation de la lecture" est prévue à Kinshasa pour le mardi 23 avril 2019. La manifestation est organisée par l' Association des F
« Une marche de vulgarisation de la lecture » est prévue à Kinshasa pour le mardi 23 avril 2019. La manifestation est organisée par l’ Association des Femmes journalistes de la presse écrite ‘ACOFERE’ en collaboration avec la Bibliothèque Wallonie-Bruxelles en la ‘Journée mondiale du Livre et du Droit d’Auteur’.
Sous le thème « Lire pour rire, lire pour apprendre et se cultiver », la marche va partir du Terrain Comète face à la Maison Shengen, en passant par la Place des Evolués pour aboutir à la Bibliothèque Wallonie-Bruxelles où des écrivains ivités vont prendre la parole pour parler de l’importance de la lecture et de la fréquentation des bibliothèques. Des échanges vont avoir lieu entre équipe de la bibliothèque belge et le public.
Au-delà de la manifestation, les organisateurs espèrent susciter l’intérêt des écrits et de la pensée dans le chef de la population qui malheureusement considère la lecture comme un jeu vain de divertissement. Elle n’y accorde que très peu d’intérêt pour ceux qui on accès aux livres. Les autres vont avoir l’occasion de feuilleter les ouvrages mis à leur disposition.
L’UNESCO à l’origine de la célébration mondiale du livre
En célébrant cette journée dans le monde entier, l’UNESCO s’efforce de promouvoir la lecture, l’industrie éditoriale et la protection de la propriété intellectuelle à travers le droit d’auteur. Cette date a été choisie par la Conférence générale de l’UNESCO afin de rendre un hommage mondial au livre et à ses auteurs, et encourager chacun, en particulier les plus jeunes, à découvrir le plaisir de la lecture et à respecter l’irremplaçable contribution des créateurs au progrès social et culturel.
L’idée de cette célébration trouve son origine en Catalogne (Espagne) où il est de tradition d’offrir une rose pour l’achat d’un livre. Le succès de cette initiative dépend essentiellement du soutien que peuvent lui apporter les milieux intéressés (auteurs, éditeurs, libraires, éducateurs et bibliothécaires, institutions publiques et privées, organisations non gouvernementales et médias) qui sont mobilisés dans chaque pays par l’intermédiaire des Commissions nationales pour l’UNESCO, les associations, centres et clubs UNESCO, les réseaux d’écoles et de bibliothèques associées et tous ceux qui se sentent motivés pour participer à cette fête mondiale.
Rombaut Kamwanga
COMMENTS