Pour clôturer le mois de la femme, l’Organisation femme pour le développement des jeunes filles (OFDJF) a organisé une conférence sous le thème « B
Pour clôturer le mois de la femme, l’Organisation femme pour le développement des jeunes filles (OFDJF) a organisé une conférence sous le thème « Bo mwasi nde valeur ya mboka » (la femme est la valeur du pays) le dimanche 31 mars 2019 au complexe scolaire Casi, situé au quartier Kinsaku, dans la commune de Matete.
Au cours de cette conférence, la présidente de l’OFDJF, Mme Rebecca Musuamba, a rappelé aux jeunes filles le but de cette organisation qui est de se faire valoir par le travail, enfin d’apporter un appui à son pays, la République Démocratique du Congo.
Pour Madame Musuamba, la femme ne doit pas ignorée ce qu’elle est, ni à être complexée devant les autres. Elle doit connaitre son importance dans le milieu où elle vit. C’est ainsi que l’OFDGF est appelée à motiver les jeune filles pour les aider d’aller à l’école, même si elles n’ont pas de moyens, l’organisation va les assister à se faire instruire, pour qu’elles deviennent utiles à la société et des pionnières de la RDC.
Quant à Mme Judith Ngotima, elle a soutenu que la femme est une bénédiction, un être forte qui doit se valoriser car, elle est une personne qui tient en main l’épanouissement d’une nation.
De son côté, Madame Liliane, médecin au centre de santé, a porté son soutien sur la sexualité responsable. Pour elle, vaut mieux l’abstinence sexuelle ou l’utilisation des préservatifs pour évités d’être victime de malades sexuellement transmissibles telle les infections, le VIH, etc., et des grossesses non désirables. Elle a également parlé de la planification familiale et ses avantages.
A ce sujet, Mme Liliane a clairement expliqué que la planification familiale garantie le rajeunissement de la femme et assure la bonne croissance des enfants. Elle a ajouté que la planification familiale permet aux parents de s’arriérer les naissances. Elle estime que l’écart d’âge entre les enfants dépend d’un couplet à un autre. Selon la règle de la médecine, les enfants doivent avoir un écart d’âge de 3 ans.
L’une de participantes, Mme Florette Kutekisa avait une préoccupation, celle de savoir si le préservatif n’a pas d’inconvénients après son usage, compte tenu de sa matière de fabrication.
Madame Liane n’a pas hésité à réagir à la question en affirmant que les préservatifs ne présentent aucun inconvénient, ils sont tous testés par des spécialistes congolais avant leur mise en vente.
Dada Babala
COMMENTS